Après avoir démarré chez Swing, l’agence spécialisée dans l’organisation d’événements golfiques, découvert le monde des médias chez Golf Magazine et Golf Européen, puis une décennie passée aux Émirats Arabes Unis à parfaire sa connaissance du monde de l’événementiel, Grégoire Sourice est rentrée en France dans le but de proposer une nouvelle offre à destination des resorts de golf. Continuant à jouer au golf de manière occasionnelle, il souhaitait mettre en œuvre un nouveau projet, toujours en rapport avec sa passion, le golf, et ce dès, son retour courant 2021. Sa nouvelle société, Grégoire Sourice Consulting (GSC), a justement pour vocation de représenter tous les types de golfs et de resorts. En pleine phase de reprise du tourisme golfique, à un moment où les golfeurs et golfeuses francophones sont avides de bouger, et de nouveaux horizons, quelle est son approche, son métier et les atouts des resorts de golf ?
Des débuts professionnels tournés vers l’événementiel et le golf
Grégoire Sourice a débuté sa vie active dans le golf, et plus précisément dans l’évènementiel.
Recruté par la société Swing, en 1995, une agence évènementielle organisant des compétitions de golf, il s’est donné l’opportunité de travailler dans l’univers de sa passion.
En collaborant avec Édouard Tuffier, et ce, pendant une dizaine d’années, il a donc organisé de nombreux trophées de golf.
Après « cette expérience fabuleuse chez Swing », selon ses propres termes, Grégoire Sourice a ensuite découvert l’univers des médias, en occupant la fonction de responsable commercial, et publicité, chez Golf Magazine, et Golf Européen.
De 2006 à 2011, il s’occupait donc de toute la partie golf, c’est-à-dire, de tous les promoteurs, ainsi que de l’aspect touristique. « J’avais réellement accès au développement commercial magazine, sur la vente de l’espace publicitaire, pour l’industrie du golf. »
Il conserve d’excellents souvenir de cette expérience, et se rappelle d’un voyage de golf mouvementé après l’éruption d’un volcan en Islande.
Du point de vue du client, c’est à dire aussi de l’abonné à my golf média, quel est l’interêt d’un resort et donc « combien çà coûte plus cher »? La question n’a pas été posée…