Accueil Débuter Les principales erreurs de swings Comment expliquer une crise de yips au golf ? Le cas Ernie...

Comment expliquer une crise de yips au golf ? Le cas Ernie Els au Masters

Comment expliquer une crise de yips au golf ? Le cas Ernie Els au Masters - Crédit photo : Mark Newcombe

La prestation d’Ernie Els sur le premier trou du Masters d’Augusta 2016, à savoir sept putts à quelques centimètres du trou pour un score de dix a illustré dramatiquement la problématique des crises de yips, particulièrement spectaculaire au putting. Un problème qui est loin de toucher seulement les amateurs, mais parfois, aussi les plus grands golfeurs de l’histoire. Dossier en deux parties : Comprendre les crises de yips, et la réalité des yips – Comment s’en sortir.

 Découvrez nos formules d'abonnements

Les plus grands golfeurs de l’histoire ont été confrontés au problème. Et c’est peut-être grâce à eux que le problème porte un nom, a été identifié, et repéré comme une anomalie, la « popularisant » au point que plus personne n’ignore ce que c’est.

Quand Ben Hogan, Tommy Armour, Sam Snead ou maintenant Ernie Els ont souffert du problème avec des conséquences sur leurs vies professionnelles, les amateurs n’ont plus peur de mettre un nom sur ce problème, à la fois effrayant, et terriblement moindre en théorie par rapport au slice ou autres grattes. Vous allez voir pourquoi en théorie seulement ? 

Les cas les plus spectaculaires dans l’histoire 

Quand Ben Hogan se tenait derrière sa balle comme tétanisé à l’idée d’utiliser son putter. Avouant « C’est comme aller se faire 18 prises de sangs dans une seule et même journée. »

Ne croyez-vous pas qu’il était embarrassé d’entendre les gens derrière lui dire « Mais bon sang, va-t-il finir par mettre cette balle au fond du trou ! »

Dans un autre genre, Tommy Armour était terrorisé par les petits putts. Une fois, il en a manqué 21 à moins d’un mètre sur le même tournoi.

C’est d’ailleurs un peu lui qui a contribué à donner un nom au problème : crise de yips.

Il en était arrivé au stade de considérer son putter, non plus comme une lame servant à pousser la balle, mais comme le bout d’une lance tellement pointue qu’il était presque impossible de taper un putt dans la bonne direction.

Déjà abonné

Je me connecte

Abonnement Mensuel
1€ le premier mois

puis 5.99/ mois

Je m’abonne

Résiliable en ligne à tout moment

Abonnement Annuel
49€ / an

Je m’abonne

Résiliable en ligne à tout moment

Abonnement Annuel
(plus un cadeau pour le premier abonnement)
69€ / an

Je m’abonne

Résiliable en ligne à tout moment

Article précédentTest des drivers PING G, SF TEC, et LS TEC
Article suivantLa réalité d’une crise de yips au golf et comment s’en sortir ?
Ce compte correspond à des sujets, articles ou vidéos spécifiquement traités en équipe, et pas nécessairement rattachés à un seul journaliste de l'équipe de MyGolfMedia.