Décidément, en cette rentrée 2016, la tendance est aux grandes tailles ! Callaway présente des fers et des hybrides Oversized, et dans le même temps, TaylorMade nous parle de putters…oversized ou OS, partant du principe que plus c’est gros, et plus c’est tolérant. Est-ce que cela peut vraiment s’appliquer à un putter ?
Choisir un putter n’est pas une mince affaire ! Si vous vous fiez à vos simples intuitions ou à un goût pour une forme ou un look, vous prenez le risque de ne pas choisir de manière rationnelle la meilleure solution technique, et adaptée à votre stroke de putting, ou même votre morphologie.
Les clubfitters ne s’y trompent pas quand ils affirment que le premier club à fitter dans le sac est le putter.
Dans cet article, nous allons utiliser des données que nous avons mesuré avec un radar de mesure dit Zenio pour quantifier la qualité de l’impact, la qualité du tempo/rythme, et la qualité du chemin pour ramener la face du putter square à l’impact pour un joueur.
En matière de putting, la performance vient de la consistance, soit la capacité à répéter constamment le même geste.
A la limite un « stroke » de putting peut être techniquement hors standard, mais performant tant qu’il est répété régulièrement dans n’importe quelle situation.