Depuis plusieurs saisons, les chroniqueurs se perdent en conjectures concernant les performances du golfeur américain Jordan Spieth, 27 ans, natif de Dallas, et anciennement numéro un mondial, peut-être un peu trop tôt appelé le nouvel Arnold Palmer. « Le problème est mental. Le problème est physique. Le problème est technique. Son swing ne va pas ». On a à peu près tout entendu concernant le prodige, déjà vainqueur de 11 tournois PGA entre 2013 et 2017 dont 3 majeurs. En l’espace d’une dizaine de jours, il vient consécutivement de tenir le rôle de leader d’un tournoi PGA après 3 tours sur deux tournois. Certes, à deux reprises, il n’a pas transformé l’essai avec une victoire à Scottsdale ou Pebble Beach, deux parcours radicalement différents. Pour autant, il s’est rappelé à notre bon souvenir, et inversé la spirale de la chute au classement mondial, alors que le spectre d’une sortie du top-100 mondial n’était plus très éloigné. Est-il alors vraiment sur le retour ? Sera-t-il à même de continuer sur cette voie dès le prochain tournoi, le Genesis Open, et de là à en refaire un favori un majeur ? Beaucoup aimeraient jouer le rôle de devin, et cherchent le moindre indice d’un changement de swing ou d’une raison pour expliquer le meilleur ou le moins bon.
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Jordan Spieth : Du mieux ? Surtout, un exemple de résilience pour beaucoup de golfeurs
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