Imaginée par le Général de Gaulle, et finalement érigée sous la présidence de Georges Pompidou, la Grande-Motte ne devait pas seulement proposer une station balnéaire. A savoir, une alternative aux français qui s’amassaient l’été sur les routes en direction de l’Espagne. Dans une logique touristique évidente et globale, le Golf de La Grande-Motte (inauguré en 1986) avait lui-aussi tout son rôle à jouer. En 2022, au moment où beaucoup de politiciens oublient de sortir de nos frontières, pour constater qu’à l’étranger, les principes et fondamentaux imaginés par des dirigeants français dans les années 70 sont mieux appliqués. En dehors d’un contexte actuel négatif autour du golf, pendant un été de forte chaleur, le golf de la Grande-Motte a plutôt mieux résisté qu’ailleurs, à la fois sur son terrain, et pour sa fréquentation… Il était temps d’en faire une revue objective et indépendante…
Test du Golf de la Grande-Motte à la fin de l’été
Par une matinée de septembre, après le tumulte d’un été 2022 qui a vu de nombreux touristes français et étrangers écumer la Grande-Motte, plus au calme, le moment était venu de découvrir le Golf du même nom.
La ville compte en temps normal moins de dix mille habitants, chiffre qui peut grimper à plus de cent mille pendant la période estivale, ce qui se ressent aussi sur le parcours du golf de la Grande-Motte.