Quelle est la dernière grande innovation en matière de putting qui a marqué un véritable tournant, et partagée par des millions de golfeurs dans le monde ? Très certainement, l’apparition du premier putter 2-Balles au milieu des années 2000, une idée de Dave Pelz, reprise à son compte par Odyssey. En 2020, Odyssey est peut-être sur le point de populariser une idée, qui pourrait paraître aussi simple que d’aligner le motif de 2 balles sur la couronne d’un putter…
En matière de putting, et toujours pour citer cette grande référence mondiale, Dave Pelz, les meilleurs putters du monde ont tous trois choses en commun : La lecture des pentes sur un green, la capacité à faire partir la balle sur la bonne ligne au départ du putt, et le contrôle de la vitesse du putt, et en fonction du green.
Que peut-faire le matériel pour dompter ces trois paramètres clés ?
Sur la lecture des pentes, raisonnablement, pas grand-chose… S’agissant du contrôle de la vitesse, le dosage, Odyssey a essayé dès l’an passé de démontrer que l’équilibre d’un putter avait été profondément modifié depuis plusieurs années, et notamment avec le développement des têtes plus larges, et avec un moment d’inertie plus élevé.
Pour cela, Odyssey a été la première marque à miser sur le Stroke Lab, un manche mêlant acier et graphite, principalement pour « rééquilibrer » le club.
Cela étant, à différents niveaux d’expériences des golfeurs et des golfeuses, le rythme, le dosage n’est pas quelque chose qui peut être réglé uniformément.
Tous les joueurs ne se ressemblent pas, et une solution est rarement applicable ou perceptible de la même façon, surtout sur quelque chose qui touche au rythme interne, et biologique d’une personne.
Disons que l’idée Stroke Lab part d’un constat évident, la modification de l’équilibre des putters, et tente d’apporter une réponse tout à fait arithmétique.