Le début d’une nouvelle année, surtout pendant l’hiver où les opportunités de jouer sur le parcours sont parfois plus rares en raison de la météo, coïncide avec un moment idéal pour faire le bilan de l’année écoulée, et en déduire les axes de progressions. Pour éviter les paliers de non-progression au golf, il faut avoir une claire vision du chemin à suivre. Le jeu sur le parcours se décompose en plusieurs compartiments distincts : Driving, approches, petit-jeu et putting. Si vous avez baissé votre index en 2020, quel compartiment du jeu vous a le plus aidé ? Et à l’inverse, quel est celui qui vous a freiné ? Avez-vous une vision exacte de votre jeu, et de ce qui vous pose réellement le plus gros problème ?
La première équation à résoudre quand on a l’ambition de progresser, et améliorer ses qualités ou compétences sur le parcours, est une évidence : Il faut jouer, et en fait, beaucoup jouer.
Si, en 2020, vous avez joué moins de 5 parties réparties sur 12 mois de l’année, dont certains ont été contraints par le confinement, parler de progression est plus délicat.
Il faut donc jouer, et prévoir de jouer de plus en plus, mais il faut aussi avoir une claire vision de son jeu, que ce soit 70, 80, 90, 100 ou 110 coups et plus par parties.
Avoir une vision claire pourrait se résumer à observer où part la balle de votre club, et où elle atterrit, sur la cible, ou à gauche, à droite, trop loin, trop court.
En règle générale, tous les golfeurs, et toutes les golfeuses ont une idée assez représentative des coups qu’ils manquent le plus souvent. Pas forcément pourquoi, et même quand on est expérimenté. Je m’inclus dans cette liste.
Jouer, et donc mesurer son jeu, c’est important pour comprendre.