L’amplitude d’un swing est un facteur déterminant pour créer de la vitesse, et donc transférer un maximum d’énergie à la balle. L’amplitude peut aussi influer de manière directe sur le contrôle du swing, et donc la capacité à centrer la balle dans la face, et in fine la dispersion. Choisir de produire un swing plutôt court ou raccourci par rapport à un swing très ample peut présenter des avantages, mais aussi des contraintes, essayons de sortir des réponses faciles et des clichés pour voir ce qui est le plus pertinent…
Longueur ou dispersion, le débat se pose-t-il toujours en ses termes ?
John Daly est souvent cité en exemple comme un modèle d’individu extrêmement laxe, et capable d’une grande souplesse pour justement maximiser à outrance l’amplitude de son swing de golf.
Avec son habileté quasi naturelle, le jeune Daly était le plus long frappeur de sa génération sur le PGA Tour au début des années 90, et en tout cas, avant l’arrivée du golfeur athlète à la sauce Tiger Woods.
Actuellement sur le tour, il n’y a pas réellement de distinction ou de camps qui se séparent entre les joueurs qui adoptent systématiquement un swing raccourci et d’autres qui opteraient pour un swing long.