A moins d’une semaine du début du premier majeur de la saison de golf, retour sur ce qui a contribué à faire la légende du Masters d’Augusta, des faits qui ont marqué l’histoire, et d’autres un peu moins…
Sommaire de l’article sur les histoires insolites du Masters d’Augusta
- Les golfeurs de légende à Augusta
- Les petites histoires du Masters qui font un grand mythe
- Les petits jeux avant le grand affrontement
- Le parcours d’Alister MacKenzie, Bobby Jones, et Clifford Roberts
- Le Masters et l’argent
Pour ceux qui sont connaisseurs, l’expression « Amen Corner » s’apparente à un passage du parcours considéré comme le juge de paix. Si vous jouez bien sur ces quelques trous, généralement trois, vous avez une chance de ramener une bonne carte de score au club-house. A l’inverse, vous risquez de rentrer bredouille !
Si vous suivez régulièrement le Masters à la télévision, vous avez sans doute déjà entendu les commentateurs parler d’Amen Corner à propos des trous 11, 12 et 13 d’Augusta…C’est en fait une légère imprécision !
Le véritable Amen Corner d’Augusta est en fait l’approche qui mène au green du 11, l’ensemble des coups à jouer sur le par-3 du 12, et surtout le coup de départ du 13 !
Dans le même registre, saviez-vous que le Masters a été le premier tournoi de golf disputé sur quatre jours et 72 trous ?
De nos jours, tous les grands tournois de golf professionnels sont disputés selon cette formule de jeu. Sachant que le Masters a aussi été le premier tournoi à être joué sous le régime du par !
A savoir, les joueurs sont classés selon leur capacité à jouer sous ou au-dessus du par.
Rien d’étonnant à ce que le Masters, soit le tournoi de référence dans le monde puisqu’il a inspiré l’organisation de ces derniers.