Il ne se passe plus une semaine sans qu’un projet de construction de golf ne soit empêché, annulé ou cassé par des décisions partisanes, et commentées par des fanatiques de l’écologie qui confondent développement durable et archaïsme !
Sans rien connaitre aux technologies employées par les professionnels de la construction de parcours de golf, ces mêmes personnes avancent des arguments qui démontrent un dogmatisme primaire, et surtout une méconnaissance de la gestion de l’eau sur un golf.
En Alsace, dans le Gard, ou encore dans les Côtes d’Armor, trois projets de nouveaux parcours de golf ont tout simplement été empêchés ces douze derniers mois, sous la pression d’associations locales ou écologistes, avançant toutes des arguments anti-golf !
Près de Dinan, le golf d’Aucaleuc qui avait pour ambition de créer le plus grand golf de Bretagne a été mis en cause par des associations de protection de l’environnement.
Alors que le projet avait été validé en amont par le Préfet, il a finalement été cassé par un recours en justice.
Même situation à Strasbourg, où quelques mois plus tard, une autre association de protection de l’environnement a obtenu dans les mêmes conditions, l’annulation d’un golf pourtant déclaré d’utilité publique à Sommerau.
Et enfin à Alès, pratiquement le même jour, un projet de golf et villas écolo-compatibles qui devaient prendre place sur des terres agricoles a lui aussi été annulé par décision de justice.
Le syndrome Notre-Dames-Des-Landes semblent donc se généraliser de manière inquiétante.
A chaque fois, la consommation d’eau est pointée du doigt !
Alors intéressons-nous à la réalité de ce sujet à l’aide des chiffres récemment publiés par la FFG sur ce sujet.
- Toutes les surfaces de jeu d’un golf sont arrosées !
C’est faux !
Si un golf de 18 trous comprend environ 50 hectares de terrain, seulement 25% en moyenne sont susceptibles d’être arrosés, intégrant prioritairement les greens et les départs qui ne représentent quant à eux que 2 hectares.