Ces mots sont ceux de Phil Mickelson ! Comme n’importe quel golfeur amateur, un professionnel peut très bien connaître une période, où son jeu lui semble déréglé, et ne pas trouver la solution pour se remettre en swing.
Jeudi dernier, pour le compte du premier tour du CIMB Classic, tournoi du PGA Tour disputé à Kuala Lumpur, en Malaisie, le célèbre gaucher américain a rendu une carte qui ferait pâlir d’envie n’importe quel golfeur amateur, 71, soit un coup sous le par, et déclaré qu’il ne se souvenait pas depuis combien de temps, il n’avait pas eu un swing aussi mauvais.
Ajoutant qu’en se visionnant en vidéo, il trouvait qu’il faisait tout de travers !
Le score ne reflète pas toujours la façon dont un golfeur joue sur le parcours !
C’est pour cela que l’on connait cette célèbre maxime de golfeur : « On ne te demande pas comment, mais combien ».
Pour Mickelson, comme pour n’importe quel golfeur, il est aussi important de prendre du plaisir dans ce que l’on fait, et avoir de bonnes sensations. Le gaucher américain a eu beau scorer UN en-dessous du par, il n’a pas caché sa déception sur son swing.
En fait, ce genre de situations où un joueur n’est pas en swing est beaucoup plus fréquent qu’on le croit.
Et même, c’est plutôt l’inverse qui se veut assez rare…
Dans la suite de cet article, nous développons la crise de swing, le cas pratique d’un amateur pour expliquer comment elle peut se manifester, et comment la gérer, et enfin, on abordera la durée d’un crise de swing par rapport à une période de surrégime.
Le golf : un sport où la quête de perfection est très forte
Les pros admettent souvent ne pas taper plus de un ou deux coups parfaits par partie, ce qui peut surprendre, surtout quand on regarde la carte de score, en fin de partie.