De Saint-Quentin-En-Yvelines, il retiendra des greens très fermes, et même, plus fermes que les années passées, où même sans jouer l’Open, Nicolas a souvent eu l’occasion de jouer, étant parisien d’origine.
Avec le recul, Nicolas admet que c’est surtout au niveau mental, et de la gestion du stress qu’il a perdu les coups qui le séparent d’un cut passé au National.
« J’ai commis des bogeys, non pas à cause de mauvaises frappes, mais plus à cause des circonstances stressantes, et par le fait de découvrir les gros tournois. Sur mes deux parties, il m’a fallu cinq/six trous pour rentrer dans la partie, mais après cela allait beaucoup mieux.»
Si sur le plan du score, Nicolas n’a pas été si loin des tous meilleurs, sur le plan du jeu, il ne s’est pas non plus senti ridicule. Aussi bien au driving, que dans tous les autres compartiments du jeu, l’écart ne se joue pas à ce niveau-là.
Il en ressort que le mental prend encore plus d’importance à ce niveau qu’au niveau amateur. Et la meilleure solution pour y remédier…c’est de continuer à jouer des tournois pros.
Ce grand moment de sa saison passée, Nicolas nous confiait être au milieu de sa saison sur l’Alps Tour, et même si son début de saison a été poussif, il vise une place dans les 30 premiers du classement général, et envisage de tenter les cartes européennes du Challenge Tour en fin de saison.