L’absent le plus marquant de la prochaine Ryder Cup 2014 de golf à Gleneagle, fin septembre, sera Tiger Woods, mais c’est le plus résultat d’une suite logique d’événements que la sanction d’une contre-performance, Intéressons-nous à ceux pour qui le couperet est tombé, et en quoi ils pourront potentiellement manquer…
Dans un précédent sujet, nous vantions les forces de l’équipe européenne de Ryder Cup composée des meilleurs golfeurs de la planète à l’heure actuelle, à commencer par le numéro un mondial, Rory McIlroy.
Clairement, l’Europe doit être, et est considérée comme favorite.
Même Tom Watson l’admet, et comment pourrait-il en être autrement du seul point de vue du palmarès récent. L’équipe de McGinley a remporté cinq des six dernières confrontations.
Depuis 2002, la première Ryder Cup post 11 septembre 2001, et le capitanat de Sam Torrance, l’Europe a changé de dimension, insufflé un fighting spirit, et renversé le rapport de force.
A l’exception du cas Woods, et du problème Dustin Johnson, mis à l’écart de lui-même sans doute pour une raison liée au dopage, parmi les douze hommes retenus ou qualifiés d’offices pour faire partie de l’équipe de Tom Watson, lui-même considéré comme le seul capable à pouvoir ramener le trophée aux USA depuis une terre hostile, les choix des wild-cards font finalement assez peu débats, et en tout cas beaucoup moins qu’en 2012.