Vendredi, pour le compte de la 40ème Ryder Cup, l’Europe de Paul McGinley défend son titre en terre écossaise à Gleneagles contre l’équipe américaine de Tom Watson. Les équipes étant connues, et alors que la France sera représentée pour la troisième fois après Jean Van de Velde et Thomas Levet, par l’intermédiaire du talentueux Victor Dubuisson, faisons le point sur ce qui pourrait faire la différence dimanche.
Sommaire de l’article sur la Ryder Cup
- A la recherche de l’équipe la plus équilibrée
- L’Europe a une véritable tradition de “gros” joueurs en Ryder Cup
- Les USA misent plus sur les rookies que sur leurs meilleurs joueurs
- Le Captain factor !
A la recherche de l’équipe la plus équilibrée
Traditionnellement, avant les premiers matchs de cette compétition par équipe de prestige, il est de coutume de s’interroger sur les choix des capitaines, et notamment les wild-cards, ces golfeurs qui n’ont pas été qualifiés automatiquement, mais dont le capitaine ne pense pas pouvoir se passer pour composer son équipe de 12 golfeurs.
Côté américain, en l’absence de Tiger Woods, Jason Dufner ou encore Dustin Johnson, le débat des derniers jours a porté sur le fait que Watson n’a pas emmené Billy Horschel, le récent vainqueur de la Fedex Cup 2014 qui a connu deux semaines de folies pour conclure la saison du PGA Tour.