Dans le ballet silencieux d’un swing de golf, le grip est le premier contact, le commandant silencieux des forces en jeu. Ce n’est pas seulement une question de tenue ; c’est la fondation sur laquelle se construit chaque drive, chaque putt, chaque frappe. Une prise de club correcte est l’alpha et l’oméga du golf, influençant la trajectoire, la rotation et la puissance de la balle. C’est dans ce premier enlacement entre la main et le manche que réside le secret d’un swing réussi. Les légendes du golf, à travers les générations, ont prêté une attention méticuleuse à la qualité de leur prise en main du club. Des icônes telles que Ben Hogan, dont le grip est souvent appelé une “œuvre d’art”, à Byron Nelson, connu pour sa prise ferme et précise, chacun a apporté sa propre philosophie et sa technique à cette partie cruciale du jeu. Mickey Wright, avec sa prise emblématique, et Jack Nicklaus, dont la discipline dans le grip est exemplaire, ont tous laissé leur empreinte dans la mémoire de ce sport. Ces maîtres ont compris que derrière chaque coup magistral se cachait une prise de main tout aussi raffinée et réfléchie. Dans ce premier article d’une nouvelle série, comme promis, je veux vous emmener sur un nouveau territoire, celui de Brandel Chamblee et son livre « The anatomy of Greatness ».
Mains de maîtres : L’art subtil du grip pour golfeur éclairé
La mise en favori est réservée aux abonnés.