De plus en plus d’outils technologiques permettent d’approfondir les connaissances autour du swing de golf. Ce n’est pas seulement vrai pour le grand jeu. Cela se vérifie aussi dans le domaine du petit-jeu, souvent moins connu ou analysé, alors que c’est le secteur du jeu qui peut rapporter le plus de points. Des experts comme Christoph Bausek, joueur et coach sur le DP World Tour, et Jean Paul Fernandez, directeur technique de Smart2Move, explorent comment les forces de réaction au sol (GRF) influencent les chips et les coups de wedges. Mais la technologie seule ne suffit pas. Des entraîneurs de renommée mondiale, tels que Mark Blackburn, apportent une vision complémentaire en reliant ces avancées scientifiques aux bases fondamentales du swing. Le témoignage de Blackburn éclaire d’un jour nouveau l’importance de variables souvent négligées, comme l’angle d’attaque et l’inclinaison du manche du club, pour améliorer le petit jeu. « Les meilleurs joueurs de wedges, » explique-t-il, « contrôlent leur angle d’attaque, la rotation du buste et l’inclinaison du manche pour produire un vol de balle bas, avec beaucoup d’effet et de contrôle. »
Le rôle des forces au sol : Une base scientifique confirmée
Les tests menés par Smart2Move, où des plaques de force analysent les pressions exercées au sol pendant un coup, montrent une constante : dans le petit jeu, l’objectif n’est pas de générer une vitesse maximale, mais de maintenir un contrôle optimal.