Quand vous vous intéressez à vos statistiques de greens pris en régulation, peut-être constatez vous que le plus souvent, dans les facteurs d’explications de coups manqués, vous trouvez « court du green » ! Quel que soit nos niveaux de jeux, nous manquons tous de distances avec nos clubs. Les marques l’ont bien comprises, pour proposer chaque année, de nouvelles trouvailles allant dans ce sens. Au détour d’une expérience sur ma série, j’ai fait une découverte intéressante, et qui remet bien en perspective le fait de configurer ses clubs pour soi…
Pourquoi finalement faudrait-il avoir besoin de distance supplémentaire quand on joue au golf?
J’essaie chaque jour d’apprendre des nouvelles connaissances, et de ne pas être fermé à aucune nouvelle idée.
Mon métier implique d’être toujours curieux, et d’éviter de tomber dans le piège du « Moi, je sais » ou au contraire de figer une idée ou un savoir, pour ne « jamais » le remettre en question.
Apprendre, c’est finalement un chemin, un parcours, une courbe d’expérience.
Le golf est un sport à la fois merveilleux et enrichissant.
Il y a tellement de facteurs qui rentrent en ligne de compte, pour prendre du plaisir, s’améliorer ou performer, que le terrain d’investigation est immense.
Vous aurez peut-être perçu une évolution dans mes choix de sujets sur le matériel et la technique.
Alors que je n’arrive plus à vraiment me faire d’illusions sur les sorties de nouveaux clubs, j’explore le fait de composer son club, entre grip, manche et tête, ce qui nous promet encore un beau réservoir de performance supplémentaire.
Il ne s’agit pas de nouvelle technologie. Il ne s’agit pas de marketing. Il ne s’agit pas non plus de fitting chez un expert.
Il s’agit de sentir, mesurer, se tromper, trouver par hasard, et en fait, affiner, bichonner, cultiver la connaissance, et le feeling de son sac de golf.