Au cours d’une récente interview, le golfeur américain Max Homa, une des étoiles montantes du PGA Tour déclarait qu’il était important de comprendre en premier lieu le fonctionnement de son corps, avant de construire un swing de golf adapté. Le golfeur de 31 ans ne voulait plus lutter pour swinguer la balle, et au contraire, développer un mouvement plus en conformité avec le fonctionnement de son corps, n’hésitant pas à admettre qu’il n’aurait jamais le swing de Dustin Johnson ou d’un autre joueur. Son témoignage nous permet de mettre en lumière trois clés fondamentales pour comprendre son propre swing de golf, et qui sont malheureusement, souvent méconnues ou mal comprises. Plan de swing, direction du swing et angle d’attaque sont pourtant des éléments clés pour comprendre sa propre mécanique, et répartissent souvent les amateurs en deux familles : Les sliceurs et les hookeurs. Nous vous proposons ci-après un éclairage illustré avec des données intelligibles (au Trackman) pour vous aider à comprendre votre swing.
Trouver son swing de golf et pas celui d’un autre !
Dans le top-40 mondial, Max Homa s’est illustré en 2021 en remportant deux tournois du PGA Tour, dont le célèbre Genesis Open, disputé à Los Angeles, et réunissant la plupart du temps, l’ensemble des meilleurs joueurs du monde.
En 2019, il s’était fait connaître aux yeux des fans de golf, en remportant déjà son premier tournoi d’importance, le Wells Fargo Championship. Pourtant, à cette époque, il souffrait d’un syndrome de l’imposteur, à savoir ne pas se sentir à sa place parmi les meilleurs golfeurs du monde, et surtout, semblait devoir se battre avec son swing, pour obtenir de la régularité.
Le reportage « Inside My Swing » produit par le PGA Tour a mis en lumière qu’après un échec cuisant à l’US Open 2020, un cut largement manqué, le jeune golfeur s’est remis en question, mais pas en tapant des milliers de balles au practice.
Avec toutes les connaissances actuelles les pro enseignants de golf devraient associer ces notions avec les profils aérien / terrien et les tests TPI …alors il n’y aurait plus que golfeurs heureux