Cinquième et dernier volet de notre dossier spécial consacré à la biomécanique, et Jean-Jacques Rivet, l’un des pères de cette discipline, nous avons abordé avec lui un sujet qui fait l’actualité, et qui pourrait concerner des centaines de milliers de golfeurs en France : le A-Swing. Soit une série de principes édictés par la légende du coaching, David Leadbetter, et sur lequel, Jean-Jacques Rivet a travaillé dès l’origine, fournissant les données biomécaniques utiles à ces nouveaux principes de swing particulièrement adaptés aux amateurs.
Le A-Swing de Leadbetter : De la théorie à la pratique
Ce n’est pas encore quelque chose de très connu en France pour des problèmes de traduction de l’anglais vers le français.
Le A-Swing est le résultat de nos discussions dans les années 2003-2004 avec David Leadbetter qui tournaient autour du fait de trouver un swing plus facile à répéter pour les joueurs amateurs.
A cette époque, et comme nous avions l’occasion de côtoyer beaucoup de joueurs de haut niveau, nous savions comment optimiser un swing en évitant de provoquer des blessures.
A l’inverse pour un amateur, et en particulier, celui qui n’a pas d’athlétisation, l’idée était de déterminer les paramètres discriminants qui pouvaient permettre à quelqu’un de swinguer de manière optimale avec un club de golf.