Le terme sweet spot est de plus en plus à la mode quand il s’agit de parler de clubs de golf, et surtout de leurs conceptions pour légitimer d’éventuels gains de distances. Nous vous proposons de découvrir ce qui se cache réellement derrière la conception des têtes de clubs de golf.
Le sweet spot est le nouveau credo à la mode de toutes les marques de matériel. Nous le retrouvons aussi bien pour parler d’un driver que d’un fer ou même un putter.
A force d’en parler sans réellement savoir ce que c’est, un certains nombres de légendes ont vu le jour sur la toile ou dans des discussions de comptoirs au club-house, tordons le cou à ces fausses croyances..
Première fausse croyance concernant le sweet spot d’un driver : Il ne peut pas être plus large !
Le sweet spot est en fait un point de la taille d’une aiguille !
Sur un driver, il n’y a qu’un seul vrai sweet spot qui génère une vitesse de balle maximum, et peu d’effets sur la balle à l’impact.
A chaque fois que vous manquez le sweet spot (je rappelle un point de la taille d’une tête d’aiguille), vous perdez en vitesse maximum de balle à l’impact, et donc en distance.
En vérité, quand les fabricants parlent de sweet spot concernant leurs drivers, ils font plus références à la tolérance quand vous manquez le sweet spot, et donc, le fait que vous perdrez moins de vitesse de balle, et prendrez moins d’effets (type slice ou hook) du fait d’un plus haut niveau de Moment d’inertie, le fameux MOI.
Deuxième contre-vérité concernant le sweet spot, ce dernier ne se situe pas exactement au centre de la face du club !
Il varie de manière très significative d’un club à un autre !