Vendredi 10 Mars, j’avais rendez-vous avec Olivier Raynal, coach de golf très expérimenté et formateur pour la fédération, afin d’enregistrer les premières séquences de sa nouvelle rubrique coaching sur jeudegolf.org. Au-delà d’en profiter pour vous annoncer l’arrivée d’un nouveau consultant, je profite de ce sujet pour vous relater une expérience personnelle menée avec Olivier au sujet du putting. Ce dernier m’a illustré des techniques simples et précises pour progresser au putting. Remplacer le hasard par une organisation appropriée…
Qu’est-ce que bien putter ?
En terme médical, on dit souvent que pour commencer à se soigner, il faut déjà avoir conscience d’être malade.
En parlant de putting, j’expliquai à Olivier que j’avais eu la sensation de mieux putter en changeant le grip de mon putter, alors que techniquement, ma principale manière de gérer un putt, consiste toujours à mesurer en nombre de pas, la distance qui me sépare du trou, puis à chercher de manière assez aléatoire la forme de la pente.
Après avoir distingué la distance du trou, si j’ai pris le temps en début de partie de mesurer la vitesse des greens, je gère la vitesse en prenant plus ou moins d’amplitude au backswing.
Je vous renvoie à un précédent article sur un accessoire qui me permet justement de mesurer la vitesse du putting-green avant une partie : Le stimpmeter.
Jusqu’à présent, je gérai donc mon putting en prenant en compte essentiellement la distance (de manière finalement assez quantifiée) mais pour tout le reste, c’était quand même encore très imprécis.
Ayant été un des premiers en France à parler de la méthode Aimpoint sur la visée, pour avoir obtenu l’interview de son fondateur Mark Sweeney avec le concours de Loic Gambardella, j’avais toujours été surpris qu’aucun coach français, et ce n’est pas faute de les avoir contacté, n’ait essayé de m’influencer ou de m’en dire plus sur le sujet.