Le golf est un sport passionnant ! Un sport qui vous prend beaucoup de temps, et dans lequel vous nourrissez beaucoup d’aspirations…Le but ultime de votre passion est finalement assez simple : rentrer une petite balle blanche dans un petit trou sur un green au fond d’un fairway…
Vous pouvez travailler votre technique, améliorer la distance de vos drives, travailler vos approches autour du green, mais si vous ne savez pas terminer le trou en deux putts ou moins, vous pourriez ressentir de la frustration.
Ne nous mentons pas, quand on attrape le virus du golf, il peut y avoir plusieurs raisons : la beauté des paysages, la beauté des parcours, l’opportunité de faire des voyages, rencontrer de nouvelles personnes, jouer avec des amis ou des membres de sa famille, et puis, il y a pour certains, l’envie de battre le parcours, et de repousser plus loin ses propres limites !
Cette idée qui vous motive à vous rendre sur votre parcours pour aller chercher cet index qui est parfois si difficile à jouer. Gagner quelques coups par rapport à la carte de score habituelle, ou alors dans le but de gagner un match-play contre son rival et ami de toujours…
Au golf, la question du « combien » revient relativement souvent, et beaucoup plus souvent que le « comment » !
Bien sûr, si vous mettez dix coups en moyenne pour atteindre le green, un ou deux putts de plus n’est pas votre priorité immédiate.
En moyenne, un amateur peut jouer quatre à six greens en régulations par parties. Parfois plus…parfois moins, de toute façon, cet article ne s’adresse pas nécessairement aux golfeurs professionnels.
Ceci étant dit, pour eux, le putting est encore plus déterminant pour faire la différence en tournoi.
La question initiale étant pourquoi ne rentrez-vous pas plus de putts ? Certains d’entre vous ont peut-être pensé…Je ne m’entraîne pas assez…Je ne suis pas naturellement doué…Je n’ai pas un assez bon feeling…
Faux, ce n’est dans un premier temps rien de tout cela, mais au contraire, souvent le résultat de fausses croyances concernant la lecture des greens, qui se sont répandues comme des légendes urbaines, sans que l’on sache concrètement qui les a lancé, et surtout comment les vérifier ?