Depuis quelques années, les fabricants de balles ne jurent plus que par les balles softs. Sur un marché dominé par Titleist, et la Pro V1, il existe donc une voie de différenciation : la douceur. Proposer aux amateurs de tous les jours des balles plus adaptées et loin des canons d’exigences du tour professionnel qui en fait ne correspondent pas aux aptitudes de Monsieur Tout le Monde. Avec cet essai, nous allons comparer la TaylorMade Burner Soft et la dernière Srixon Ultisoft qui nous avait été présentée à Orlando en janvier dernier.
LES CONDITIONS DU TEST DES BALLES TAYLORMADE BURNER SOFT ET SRIXON ULTISOFT
Pour ce nouveau test, nous avons abordé la problématique d’une manière un peu différente par rapport à nos premiers tests de balles.
A l’origine, pour ce type de tests, nous faisions systématiquement appel à un golfeur professionnel pour obtenir des frappes de balles d’une extrême régularité.
Pour cet essai, nous sommes partis dans une autre direction : celle de l’amateur, le golfeur de tous les jours qui jouent entre 15 et 25 au-dessus du par, en prenant le soin de mesurer des balles justement régulières et longues avec un fer 6.
Comme pour les précédents tests, il s’agit de vérifier le taux de spin, la vitesse de balle, et la distance parcourue selon une vitesse de swing comparable.