Alors que le driver est souvent le produit star du sac de golf, de plus en plus, les marques – à l’image de Ping – souhaitent proposer des bois de parcours, qui puissent représenter une alternative pour plus de choix tactique, toutefois en appliquant les mêmes recettes du grand frère : à savoir plus de tolérance et plus de distance.
A l’été 2013, Phil Mickelson a marqué les esprits en remportant le British Open de golf à l’aide de plusieurs bons coups de bois 3, tapés bas dans le vent pour faire de la distance sur un parcours type links.
Il semble que depuis il est fait des émules.
A commencer par Ping qui vient de lancer hors gamme, un nouveau bois 3 métal Rapture de 13 degrés.
Récemment, nous avions publié un sujet consacré au choix sur le tee de départ entre l’attaque et la prudence, et sous-jacent, le choix du driver.
En résumé, nous étions parvenus à la conclusion que le choix du driver était bien souvent la meilleure solution.
Avec sa plus grande tête, le driver est en fait la plupart du temps, le club le plus tolérant que l’on puisse trouver dans un sac de golf.
Comment défendre l’idée qu’un bois de parcours peut être en fait préférable au driver ? Et surtout, quels arguments pour militer en faveur du bois de parcours ?
Ping entend répondre à cette question en produisant une face de tête de club plus performante, et comparable à celle d’un driver sur son nouveau Rapture.
En plus de la face en beta-titanium et une semelle en tungstène haute densité, le corps du club est composé d’un titane Ti8-1-1, des ingrédients qui font de ce nouveau bois 3, un club dit multi-matériaux.
Objectif de la marque ?
Nous convaincre que cet assemblage de matériaux hauts de gammes peut justement accroître la vitesse de balle, réduire le taux de spin, et donc produire plus de distance, et de précision, les points forts d’un…driver.