Big Bertha ? Fusion ? Big Bertha Fusion ? Callaway associe les noms de ses anciens produits mythiques pour construire sa nouvelle offre de driver super-tolérant. En 2016, en matière de driving, est-il réellement possible de repousser les limites de la distance et de la tolérance ? L’exercice est loin d’être aisé pour l’ensemble des fabricants. Le numéro 1 mondial semble vouloir y croire.
Quand vous voulez construire un driver « super tolérant », il n’y a pas 36 000 manières de s’y prendre ! Votre objectif est d’augmenter le moment d’inertie de la tête de club, le fameux MOI.
Trois à quatre ans en arrière, les ingénieurs de TaylorMade et de Callaway se disputaient le principe d’avancer ou de reculer le poids d’une tête de driver vers l’avant ou vers l’arrière.
Aujourd’hui, cela ne semble plus faire de débat pour personne, il faut déplacer le poids vers l’arrière, en acceptant une contrepartie ! La hausse du taux de spin qui finit par limiter la pénétration dans l’air, fait monter la trajectoire de balle, et réduit la distance.
En matière de golf, c’est une illusion de penser qu’un club peut à la fois être ultra-tolérant ou ultra-long. Il faut choisir.
Avec le Big Bertha Fusion, Callaway veut nous parler de tolérance.