Après avoir testé le nouveau driver TaylorMade M1 en version 440 cc, à savoir plutôt pour les profils de golfeurs qui apprécient les têtes compactes, et préfèrent renoncer à la tolérance maximum proposée par une tête 460 cc, j’ai pu tester la version la plus large, et la plus indiquée pour une majorité de golfeurs. Ce nouvel essai m’a permis d’aller au bout d’une question concernant l’équilibrage des drivers, ce qui pourrait vous être très utile pour vos choix futurs…
Un driver vraiment plus réussi au niveau design
Pour commencer par les amabilités, je dois admettre que la famille des clubs TaylorMade M est extrêmement bien réussie d’un point de vue esthétique.
Je comprends mieux les propos de Brian Bazzel, l’ingénieur numéro un pour les « metalwoods » chez TaylorMade qui affirmait que la version 2017 était une version plus aboutie de la ligne M, pourtant déjà sortie en 2016 avec beaucoup de battage médiatique, et une certaine réussite dans les ventes.
Si la couronne des nouveaux M1 est très similaire à celle de l’an passé, les principaux changements sont intervenus sous la semelle.
C’est le jour et la nuit entre les deux versions, comme si le modèle 2017 mettait dix ans d’écarts à la version sortie à peine 12 mois plus tôt.
J’irais même jusqu’à dire que le nouveau driver M1 est de mon point de vue, le driver le plus abouti qu’ai jamais produit TaylorMade ! Oui, j’irai jusque-là en me remémorant le R1, le R15, le SLDR… bref, les derniers gros drivers de la marque.
Avant de parler du bénéfice de performance ou pas des nouveaux matériaux employés par TaylorMade, visuellement, il y a le poids des mots, et le choc des images.
Pour le visuel, on est servi !
La semelle du M1, la partie finalement la moins visible quand on est à l’adresse, mais la plus visible dans les rayons des magasins est à la fois très réussie d’un point de vue du dessin, mais aussi très efficace d’un point de vue des réglages.