Plus économique que la version M1, moins complexe à mettre au point, le driver TaylorMade M2 est toutefois beaucoup plus élaboré que son prédécesseur, l’Aeroburner, un produit qui avait de sérieux atouts, mais n’avait pas bénéficié d’un bon plan de communication ou d’un temps suffisant pour s’imposer. Nous avons fait appel à quatre testeurs pour tirer le maximum de ce driver. Alors que les opportunités de différenciations se font plus rares sur le marché, est-ce que le M2 peut s’avérer être un bon choix ?
1.Le club testé : un driver TaylorMade M2
Pour ce nouvel essai, nous avons utilisé une tête de driver TaylorMade M2 mis à notre disposition par la marque. Concernant les shafts, nous avons eu recours à deux modèles :
Un shaft graphite Fujikura Pro 60 en version stiff relativement lourd (60 grammes) proposé en standard, et à la limite de longueur d’un shaft standard en 45.75 inches comparé à un shaft regular assez classique en longueur et en poids, le Motore speeder 57.
Dans les deux cas, les shafts ne sortent pas de l’ordinaire, et n’expliqueront pas artificiellement un quelconque gain de performances.
1.1 La catégorie du club testé
De plus en plus, le marché des drivers se divise en deux catégories.