Il se veut le nouveau vaisseau amiral de la flotte TaylorMade ! Le M1 revu et corrigé en 2017 a pour objet d’aller encore plus loin que son prédécesseur. Et pas seulement en ce qui concerne la distance, mais aussi d’un point de vue de l’ajustement des réglages au plus près des besoins de l’utilisateur. Pour l’avoir testé récemment, je me demande simplement si ce driver n’est pas à réserver exclusivement à un maximum de 200 golfeurs en France, à savoir des joueurs proches d’un niveau professionnel…
Premières impressions sur le nouveau M1 de TaylorMade
Avant de produire le test complet du driver M1 avec le concours d’au moins trois testeurs, j’ai voulu devancer notre protocole, et vous livrer mon premier jet ou plutôt mes premiers drives avec ce nouveau club.
L’organisation de nos tests, surtout en période hivernale est de plus en plus conséquente, fait appel à de plus en plus de ressources, notamment humaines, ce qui retarde la production de l’article par rapport à la date de sortie du produit. C’est pourquoi, je me permettrai le plus souvent possible de vous délivrer mon premier test en amont.
En 2016, à la faveur d’une bonne stratégie marketing, TaylorMade a repris la main sur le marché des équipements de golf. La famille M a nettement contribué à ce rebond.
Plus que le M1, driver très ajustable, c’est le M2, driver plus abordable, qui a contribué aux bons résultats des commerciaux de la marque en France (numéro un des ventes en 2016), et un peu partout dans le monde.
Le M1 se veut le produit le plus élaboré techniquement, et aussi le plus coûteux.
Déjà l’an dernier, je l’avais trouvé délicat à maîtriser. Et tout laisse à penser que mon premier test en 2017 va encore confirmer cette tendance.
Par rapport à la version de l’an dernier, TaylorMade a voulu mettre en avant l’usage d’un nouveau matériau encore plus léger : un alliage de titane dénommé Ti-9-1-1.