Benoit Vincent nous avait présenté ce club lors de notre passage sur le stand TaylorMade à l’occasion du PGA Merchandise Show d’Orlando début janvier, nous avons souhaité approfondir le sujet avant de vous présenter le test que nous avons réalisé en février 2016. Si le rescue fait bien partie de la fameuse famille M2, nous avons constaté un certain nombre de différences par rapport au driver et aux bois de parcours.
Rappel de ce que Benoit Vincent nous expliquait à propos de cet hybride M2
« Effectivement, le bois de parcours vient avec un hybride pour lequel il n’a pas été très utile de mettre du carbone sur le dessus de la tête, essentiellement parce que la tête est très petite. Quand on finit de coller une couronne en composite sur la tête, les gains ne sont pas assez importants. D’autre part, la tête n’impose pas les mêmes contraintes en termes de volumes et de masses. On peut mettre tout le poids que l’on veut sur la semelle. La speed pocket est là-aussi très active, ce qui augmente la vitesse de balle. Ce rescue est aussi plus gros que l’équivalent M1. »
Poursuivant « Si le M1 a un hosel ajustable, et des masses de 3 grammes et 25 grammes que l’on peut alterner, ce n’est pas le cas pour le M2. Là-aussi, le M2 met l’accent sur la distance, et la tolérance plus que sur les possibilités de réglages. La taille est encore une fois un élément qui joue en faveur de la tolérance sur ce type de clubs. »
Avant de conclure « Enfin, nous avons quelque chose de nouveau sur nos bois de parcours, et nos rescues, c’est ce qu’on appelle le Floated Hosel. A savoir, nous lui avons enlevé de la masse, et nous l’avons rendu plus long pour ne pas pénaliser le centre de gravité.