De 7 à 77 ans, vous pourriez tout à fait jouer des clubs Cobra. Bien entendu, c’est une formule. Cependant, Cobra, qui est sans doute la marque la plus fun, il suffit de se rendre au siège à Carlsbad pour s’en rendre compte, entend réellement convaincre tous les golfeurs qu’ils peuvent essayer des clubs Cobra, et avoir une bonne expérience.
Il ne s’agit plus d’être seulement perçu comme une marque pour « young gun » à la mode Rickie Fowler. L’arrivée de Bryson DeChambeau dans le giron Cobra va d’ailleurs apporter un tout nouveau sens de communication pour cette marque : Facile à jouer pour tout le monde !
En 2017, Cobra Golf a de nombreuses et nouvelles innovations à présenter au marché. Ce dynamisme accru s’explique en partie par les bons résultats commerciaux des derniers mois (Cobra est avec Callaway, la seule marque à avoir gagné quelques parts de marché en 2016), et par le besoin de démontrer aux golfeurs que Cobra peut leur apporter la solution.
Sur ce terrain, la marque américaine, mais d’origine australienne, a semble-t-il plus de choses à prouver aux golfeurs, encore parfois difficile à convaincre.
Il faut dire qu’aux Etats-Unis, Callaway et TaylorMade sont ultra dominants dans la publicité sur les chaînes de golf.
Pour situer les choses, quand les deux géants du business emploient 700 à 800 personnes à Carlsbad, Cobra est plus une start-up, avec 200 collaborateurs sur le site.
Ceci étant, Cobra compte sur un actionnaire très stable (Kering) et deux ingénieurs parmi les plus talentueux du business, José Miraflor (Metalwoods) et Tom Olsavsky (irons).
Je ne leur ai pas demandé mais je peux imaginer sans peine pourquoi ils ont quitté TaylorMade quelques années en arrière.
Faire la différence !
Après avoir visité les deux compagnies pour lesquelles j’ai beaucoup de respect, j’ai noté que chez TaylorMade, tout est question de travail d’équipe.