Si vous suivez l’actualité du matériel de golf, peut-être aurez-vous noté que nous arrivons à un tournant de l’histoire. Depuis les années 90, les ventes de drivers ont cru à mesure que les performances des joueurs sur le tour ont progressé, et que les marques ont pu relayer ces gains comme des argumentaires de ventes. Nous avons globalement tous souscrits à cette logique, porté par une période de relative croissance économique, et où l’achat plaisir prédominait parfois sur le rationnel. Les règles du jeu sont en train de changer à vitesse grand V…
Préambule sur l’évolution des drivers pour le golf
Cet article n’a pas pour vocation d’être une vérité absolue et incontestable, mais plutôt d’ouvrir le débat, et de relater des faits convergents, qui a minima ouvrent des questions sur la façon de commercialiser des drivers dans les prochains mois, et les prochaines années.
Ainsi, vous pourrez vous faire un avis, et peut-être divergent du notre.
Toujours est-il qu’il nous semble que le marché des drivers de golf est déjà en train d’évoluer.
Le contexte
Petit retour en arrière, et au moins sur les cinq dernières années, si ce n’est pas plus, le principal argumentaire de vente d’un driver, en France, en Belgique, en Suisse, et en Amérique du Nord, a été le gain de distance.