Le putting est un élément clé du jeu de golf, nous le savons tous. Pour autant, le choix d’un putter est probablement ce qui est le plus compliqué pour un golfeur amateur. Pour un clubfitter, c’est même le premier club qui devrait être systématiquement ajusté au joueur. Découvrez en chiffres, et de manière non-philosophique, ce que peuvent apporter quelques ajustements sur son propre putter.
Sommaire de l’article sur le match putter fitté contre putter non-fitté
- Les conditions du test
- Commençons par le putter non-fitté !
- Le processus (court) de fitting d’un putter
- Les bénéfices d’un club fitté quantifiés
Les conditions du test
Pour cet exercice, je me suis à nouveau porté volontaire pour tester concrètement la différence entre un putter standard (le mien), et un putter réglé à mon swing de putting.
Je me suis rendu chez Alexandre d’Incau, clubmaker/clubfitter à Seignosse pour comprendre sa méthode de fitting, et constater, chiffres à l’appui, les écarts entre mon putter, et un putter ajusté.
Sachant qu’une véritable séance de fitting peut durer plusieurs heures, et qu’il n’était pas encore question pour moi de changer de club, mais bien d’identifier un gain lié au fitting, nous avons travaillé à partir de mon putter, puis en fonction, d’exercices et de tests réalisés par le clubfitter, j’ai testé plusieurs formes de têtes, et plusieurs tailles de grips !