Chaque lancement de nouvelles séries de wedges Cleveland est toujours un petit événement en soi ! D’une part, car cela n’arrive pas tous les six mois, et d’autre part, car Cleveland a su rendre sa série de wedges iconique depuis la sortie de la gamme 588. Découvrez sur quoi Cleveland a bien pu travailler, et comment ils ont construit la preuve de leur argumentaire…
A première vue, les nouveaux RTX-3 ne sont pas seulement très beaux, ils ont une histoire technique bien particulière à raconter. Or, en matière de wedges, il devient pourtant de plus en plus difficile de proposer des améliorations.
Ces dernières années, les différentes marques de références dans le domaine du wedging ont compris qu’en la matière, il y avait beaucoup à faire, et à proposer aux golfeurs.
Le wedging représentait un champ des possibles largement sous-exploité par rapport au driving très bataillé, et souvent dominé par une seule marque.
Il ne s’agissait plus d’acheter un ou deux wedges un peu au hasard et sans savoir.
Cleveland a ainsi proposé non plus des wedges mais un « wedging system ». A savoir, un éventail de solutions en fonction d’un éventail de situations rencontrées sur le parcours.
C’était plutôt pertinent à plus d’un titre. D’un point de vue commercial, cela permettait effectivement de mieux rentabiliser l’investissement en r&d. D’un point de vue client, cela répondait au bon vieil adage « une offre pour chaque demande ».
De deux ou trois wedges, le nombre de clubs possibles s’est multiplié parfois jusqu’à plus de 30 selon les semelles, les bounces, les coloris…sans parler des shafts.
Revers de la médaille, le golfeur « Monsieur Tout le monde » s’est vite senti perdu devant cette large palette de solutions.
En dehors de quelques amateurs qui investissent du temps dans un fitting de wedges, il a fallu proposer des solutions pour se repérer.