Parmi les premiers à recevoir ce tout nouveau club très particulier, je me suis livré à un comparatif avec un pitch, et un gapwedge, dans la situation de jeu préférentielle de ce nouveau club de la marque championne du petit jeu, le chipping en bord de green.
Vous pouvez toujours avoir envie d’acheter le tout dernier driver le plus cher du marché dans l’espoir de gagner cinq mètres en distance, et vingt mètres en dispersion latérale, pourtant, le choix le plus judicieux que vous pourriez faire, serait de vous poser la question de votre « wedging system ».
A savoir, quels clubs allez-vous mettre dans votre sac pour jouer en-dessous de 100 mètres du green, et en particulier autour du green.
Combien de coups un amateur classé entre 16 et 30 d’index va-t-il jouer dans cette zone du parcours ?
Mis à part les joueurs scratchs qui ratent occasionnellement le green, beaucoup d’entre nous, ont entre 3, 6, 9 et parfois 12 coups d’approches à jouer à moins de 50 mètres du green dont la moitié même à moins de 10 mètres.
Le chipping est essentiel au golf
Paradoxalement, c’est censé être le coup le plus simple au golf…cependant, c’est aussi le plus exigeant.
Sur un coup de fer à 130 mètres, à moins de s’appeler Victor Dubuisson, le niveau d’exigence en termes de précision est généralement entre 5 ou 10 mètres pour un amateur.
Quand vous êtes à moins de 10 mètres de la cible, le niveau d’exigence ne peut pas être de 10 mètres !
Au contraire, nous espérons tous amener la balle à moins d’un mètre pour se laisser un putt sûr.
Beaucoup de golfeurs, notamment des seniors qui n’ont pas toujours la distance pour prendre les greens en régulations, sont devenus des spécialistes de l’approche putt pour néanmoins sauver des pars à la pelle.
Le chipper était déjà nommé jigger, n’est-ce pas ? Il a disparu des sacs des joueurs à cause de la limitation à 14 clubs. Maintenant, c’est plus par un préjugé négatif qu’il n’est plus joué ?