Et si Phil Mickelson se plaisait à se reconvertir chercheur-ingénieur de clubs de golf, et plus particulièrement de sandwedges ? Bob Vokey, Roger Cleveland sont quelques-uns des grands noms de ce business. Alors qu’ils arrivent proches de la limite d’âge, le gaucher plusieurs fois vainqueurs en majeurs semble trouver du plaisir à développer des wedges qui correspondent pleinement à son jeu, et distribué ensuite au plus grand nombre par son équipementier.
Mickelson aurait-il trouvé une idée de reconversion ?
L’histoire des nouveaux wedges Callaway Mack Daddy PM Grind semble être directement le fruit d’un travail de recherche et de curiosité de la part de Phil Mickelson, qui a bientôt 45 ans, sait que ces belles années en tant que golfeur professionnel sont derrière lui, mais ne s’interdit pas de rêver à remporter un ou deux majeurs, en particulier l’US Open, seul tournoi qui échappe à son magnifique palmarès.
Et pourquoi pas devenir dans les années à venir le grand nom du wedging ?
Qui pourrait-être mieux placé que lui ?
Chaque golfeur a une histoire singulière avec le jeu de golf. Mickelson a commencé à jouer au golf en tapant des coups de sandwedges dans le jardin de la maison familiale.
Le natif de San Diego n’avait pas beaucoup de places, alors il devait développer des trésors d’ingéniosités pour lever la balle, et surtout l’arrêter rapidement.
Sur le tour, c’est même devenu sa marque de fabrique avec les fameux lob shot qu’il joue de n’importe quelle zone du fairway ou du rough.
Pour les fans de golf, il faut être honnête, c’est sans doute lui le meilleur golfeur du monde dans cet exercice.
Alors si un golfeur sait ce qu’est un wedge, c’est bien lui !
Mais j’ai envie de vous dire, comme aujourd’hui, j’accorde ma confiance totale à Roger Cleveland, fondateur de…Cleveland Golf.