L’hypothèse d’un « NO DEAL » ou « BREXIT Sale » prend de plus en plus de crédit à mesure que les négociations entre l’Union Européenne, et le gouvernement de Theresa May patinent. Le 29 mars 2019, deux ans après le déclenchement de l’article 50, le Royaume-Uni sera face à la réalité de son choix exprimé le 23 juin 2016 par 51,9% de sa population. Si actuellement, la confusion règne, explorons les conséquences du pire des scénarios, mais de plus en plus probable sur le golf européen, en particulier pour les continentaux en matière d’achats/ventes de clubs de golf, de tourisme golfique, de gouvernance du jeu, et de compétitions au premier rang desquels, la Ryder Cup et l’European Tour.
Le gouvernement conservateur de Theresa May est très divisé sur la question du BREXIT, de sorte que les négociations pour la sortie de l’UE n’avancent pas.
Fin 2017, une première étape avait pourtant été franchie avec l’acceptation des modalités du divorce.
Le Royaume-Uni acceptait de payer une facture de 39 milliards d’euros, et devait garantir un statut aux européens installés dans le pays.
Depuis la question de la frontière entre l’Irlande du Nord britannique et la République d’Irlande pose un sérieux problème.
Personne ne souhaite le retour d’une frontière en dur.