Entre juillet 2016 et juillet 2017, au départ du dernier Open de France, il y avait relativement peu de changements significatifs dans les tandems joueurs pros et équipementiers. Bien entendu, les « free agents » comme on les appelle dans le jargon, les ex-golfeurs Nike, sont au centre des attentions pour leurs choix de clubs, mais ce n’était pas une spécificité de l’Open français. Si les marques communiquent plus facilement sur l’arrivée d’un nouveau joueur, ou d’une nouvelle victoire, un sujet est un peu passé sous silence : la rupture entre un joueur et son équipementier pour raisons de casse matériel.
Sur le même tournoi parisien, le belge Thomas Pieters a cassé un driver sur le parcours, de son fait, sans que cela soit imputable d’une quelconque façon à la marque.
Tandis que Sébastien Gros et la même marque se séparaient pour un motif différent, mais toujours en rapport avec un driver cassé.
Deux cas différents mais une même problématique d’image à gérer pour l’équipementier…
Le cas du driver cassé par le pro sans le jouer…
Il y a une publicité dont les marques de matériel se passeraient bien… c’est le moment où un golfeur professionnel casse son driver.
Comme quand Thomas Pieters, un des meilleurs joueurs de l’Open, brise le manche de son Callaway EPIC en le remettant dans son sac, après qu’un drive ait trouvé l’eau depuis le départ du trou neuf pendant le second tour.