Annoncé en même temps que le nouveau driver TaylorMade M5, le M6 est le moins ajustable des deux, mais pas forcément le moins intéressant. Découvert à Carlsbad en décembre, j’ai pu taper quelques balles avec ce driver muni lui-aussi de la technologie Speed Injection. En 2019, la marque mise tout sur la vitesse de balle à l’impact. Pour renforcer ce projet, en plus de la Speed Injection, le dessin de la semelle en carbone est censé générer une plus grande vitesse d’inertie. Toujours plus vite ? Toujours plus loin ?
Obtenir plus de régularité de production…
Tout comme le M5 vient remplacer le M3, le M6 prend la succession du M4 que j’avais trouvé décevant l’an passé.
Depuis quatre ans, TaylorMade a redéployé son offre de drivers autour de la famille M. Il y a d’abord eu une première version des drivers M1 et M2, puis une seconde génération, et enfin les M3, et M4.
Il semble que chaque année désormais, TaylorMade va procéder par petites touches sur le nom de ces drivers emblématiques.
En 2017, le driver M2 avait été selon nos tests l’un des drivers les plus performants de la saison, et pourtant, un an plus tard, le M4 était loin d’être aussi excitant.