Sans présager de tous les prochains putters annoncés pour le reste de l’année 2019, le principe Stroke Lab présenté par Odyssey a le mérite de prendre le contre-pied de nombreux principes qui n’avaient plus été contredits depuis un certains temps. C’est d’ailleurs ce que nous ont présenté les ingénieurs en charge de la conception de cette gamme de putters, au siège de la société, en Californie. Vous lirez que le manche a perdu 40 grammes, et qu’il est constitué pour la première fois d’acier et de graphite. Ci-après, on vous explique, pourquoi et comment Odyssey en est arrivé à cette nouvelle idée.
Pour expliquer l’origine de l’idée qui a mené à la création originale du Stroke Lab, Dr Alan Hocknell a tenu à rappeler le contexte dans une présentation à laquelle j’ai pu assister.
A savoir, depuis plusieurs années, les marques de putters ont investi sur comment améliorer l’alignement, comment améliorer le roulement…
En réalité, l’industrie essaie de masquer les faiblesses d’une frappe spécifique au lieu de les améliorer. Ce constat apparemment réalisé par Odyssey est la clé pour comprendre ce que le fabricant voulait réaliser avec Strokelab.
Les ingénieurs ont noté que la majorité des golfeurs ont un putting irrégulier.