A l’occasion de ce nouveau sujet publié sur MyGolfMedia, je me dois de rappeler que les abonnés ont tout à fait le droit, et le loisir de nous soumettre un sujet à publier sur le site. Mea Culpa, je n’ai sans doute pas assez exprimé cette possibilité. André Thaon D’Arnoldi est souvent coutumier de commenter les articles publiés, et parfois dans les grandes largeurs. Il m’est apparu plus pertinent de transférer, sans le transformer, son commentaire en article. JeudeGolf hier, MyGolfMedia aujourd’hui, est et a toujours un média d’opinion. Cela ne veut pas dire que ces opinions, à commencer par les miennes, sont toujours justes ou les meilleures. Simplement, la ligne éditoriale du site se veut être celle d’une expression, qui sort de ce que l’on peut toujours lire ou entendre, dans une forme de conformisme et publicitaire. Ci-après, les propos tenus dans cet article ne m’engagent pas, mais son auteur. André Thaon D’Arnoldi, et je ne suis pas dupe, cherche ici à faire la publicité de sa propre activité de clubfitter. Toutefois, plus malin que d’autres, il apporte ici une réflexion, un enseignement, le sien qui a toute sa place sur un média. Je lui cède donc la plume, et vous invite cher lecteur/lectrice à vous faire librement votre opinion.
L’artillerie, source d’inspiration ou de comparaison avec le swing d’un golfeur
À propos du swing au drive, et d’ailleurs avec tous les clubs du sac, sauf pour ce qui est de la capacité physique et athlétique du golfeur, qui en est le moteur (et nullement le shaft, comme on l’entend trop souvent), toute l’efficacité et la distance obtenue avec les clubs de golf viennent du bon réglage du driver, pour chaque swing de chaque golfeur, et de la bonne mise en œuvre du système dit du “double balancier”.
Système est celui qui est à l’œuvre dans le trébuchet, engin d’artillerie, qui a dominé les champs de bataille pendant deux siècles, et avant l’arrivée de la poudre.
La théorie du « trébuchet » est bien expliquée.
Merci.