Accueil À la Une Peut-on vraiment prendre du plaisir quand on joue au golf ?

Peut-on vraiment prendre du plaisir quand on joue au golf ?

Peut-on vraiment prendre du plaisir quand on joue au golf ?

Le golf est un jeu complexe, riche en nuances et en défis qui poussent constamment les golfeurs à se surpasser. C’est aussi un sport qui offre une satisfaction inégalée lorsqu’on parvient à réaliser le score rêvé ou le coup parfait. Je suis un passionné de golf depuis plusieurs années. J’ai mené une petite étude personnelle sur le lien entre le plaisir de jouer au golf et le score réalisé sur différents parcours.

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Depuis trois ans, j’ai parcouru 79 terrains de golf, allant du slope 112 du Golf du Clou, où j’ai joué une partie depuis les repères jaunes, et le plus souvent des blancs (slope 116), au slope 147 du Golf de Pont-Royal, depuis les départs blancs.

Mon expérience a oscillé entre des parcours faciles où j’ai obtenu un score moyen de 83.1, à des parcours très difficiles où mon score moyen était de 90.1.

Au cours de cette expérience, j’ai réellement pu mesurer avec précision l’impact direct du slope sur mon score moyen (nombre total de coups), et par conséquent, mon état d’esprit en sortant d’un parcours, frustré ou revigoré.

C’est l’une des beautés du golf : c’est un sport qui nous pousse à repousser nos limites, à défier le terrain et à se défier soi-même.

En prenant le départ, nous avons tous le même objectif : réaliser le score le plus bas possible. Mais en fin de compte, c’est l’expérience globale qui détermine le plaisir que nous retirons de la partie. Cette relation entre score, plaisir et challenge est ce qui rend le golf si captivant et addictif.

Dans cet article, je vais partager mon interprétation personnelle du plaisir de jouer au golf, en lien avec le score et la difficulté du parcours. J’espère que vous y trouverez de nouvelles perspectives qui enrichiront votre propre expérience du golf. Alors, préparez votre club et plongeons dans le vif du sujet.

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Fondateur du site en juillet 2010, découvre le golf à l'âge de 10 ans au travers d'une première expérience de caddy en Angleterre (Golf d'Uckfield/Essex) en 1985. Journaliste professionnel sur le golf, co-auteur du livre Tiger Woods, l'homme aux deux visages aux éditions SOLAR en septembre 2018. Dans ce cadre est intervenu sur la Matinale de RTL dans la rubrique 3 minutes pour comprendre animée par Yves Calvi, et sur un reportage réalisé par la direction des sports de M6 pour le magazine du 12.45 du samedi 29 septembre. Se déplace chaque année aux Etats-Unis pour interviewer les principaux acteurs de la filière Golf, aux sièges des marques en Californie ou au PGA Merchandise Show à Orlando.

2 COMMENTS

  1. A la lecture de ton article, je me rends compte, l’âge venant, que le plus important, pour moi, c’est de passer un bon moment avec mes amis. Bien sûr, si je joue bien, c’est encore mieux, mais ce n’est plus l’essentiel.Les bons coups sont appréciés et les mauvais vite oubliés. En fait, je n’ai plus rien à prouver. Je souris intérieurement, quan je joue avec des débutants. Ils commencent toujours par dire qu’ils débutent, qu’il faut les excuser s’ils jouent mal. Ils stressent un maximum. Viennent ensuite, ceux qui ont joué une partie mémorable la semaine dernière, mais qui préviennent que depuis, ils traversent une mauvaise passe. Et pour terminer, ceux qui vous abreuvent de conseils alors que leur index est le double ou le triple du votre, et qui, de plus, n’en touchent pas une et ne font sue ratatouiller. Bref, tout cela glisse sur moi mantenant. Peut-être une forme de sagesse… Enfin…

  2. Quel skieur moyen irait s’aventurer sur une piste noire ?
    Mais chaque station propose toute une variété de pistes, alors qu’un golf ne propose qu’un slope, parfois deux. D’où une certaine «discrétion» sur la difficulté réelle du parcours pour ne pas décourager le client…