De nombreux golfeurs croient que le rythme de jeu lent est le plus grand fléau auquel le golf est confronté, d’autres estiment que c’est un peu surestimé, et qu’une bonne partie de golf ne dépend pas autant de la rapidité avec laquelle vous la terminez, que du score que vous réalisez. Ces récits se répètent si souvent que les gens acceptent les deux comme des faits incontestés. Ce que personne ne semble considérer, c’est le fait que ces deux points semblent s’exclure mutuellement. Comment les rapprocher ?
Terminée l’époque où l’on pestait après la partie de devant trop lente. Les instances par leur communication, et les parcours de golf par leur gestion, on réussi à inverser la tendance. La tendance actuelle est de pester sur le joueur ou la partie de derrière qui vous met la pression dès le deuxième trou…
Nous avons tous lu des listes de facteurs contributifs au jeu lent aussi longs que nos bras, ainsi qu’une ou deux solutions plus ou moins pratiques pour y remédier.
Certains sont dus au comportement et à la conscience du joueur, d’autres aux clubs ou aux responsables de parcours trop gourmands, avec des départs toutes les 6 ou 8 minutes, mais de toute façon, il y a certains facteurs en jeu sur lesquels le joueur individuel a peu ou pas de contrôle.