Lancé le 25 décembre dernier, le classement des 1200 enseignants PGA exerçant en France devrait apporter un nouvel éclairage sur les différents degrés de compétences, et une amélioration pour la profession dans un contexte difficile ces dernières années. Notre enquête exclusive !
En préambule, le contexte favorable à la mise en place d’un classement PGA France…
Le classement des pros/enseignants français est un vieux sujet. Il aura fallu une bonne vingtaine d’année pour que le dossier fasse enfin consensus au bénéfice de la profession, et surtout des amateurs qui prennent des leçons.
Comme tout métier, la formation et l’expérience sont des atouts.
Encore fallait-il pouvoir les exprimer aux yeux des « extérieurs », à savoir la filière (les directeurs de golf qui recrutent des enseignants), et aux futurs élèves.
Pour un amateur qui avait déjà une relation avec un enseignant, il lui était déjà possible de constater ces atouts au travers du travail réalisé conjointement.
Ce classement a donc bel et bien pour objet de faciliter la mise en relation des pros avec de futurs employeurs ou de futurs clients, et ne devrait pas particulièrement remettre en cause les relations déjà entamées.
Bien entendu, le principal frein à la mise en place d’un tel classement a sans doute été le fait d’illustrer la base ou le début de la pyramide alors qu’à l’inverse, le principal moteur a été le fait d’illustrer le sommet, et les moyens d’y parvenir.