A l’heure du tout numérique, des applications mobiles et des réseaux sociaux, les golfeurs et golfeuses ont-ils encore besoin de se rendre à un salon dédié au golf en plein Paris ? La question se pose alors que la fréquentation du dernier jour, un samedi, n’a pas été au rendez-vous.
Sommaire de l’article sur le salon du golf 2015
- Une affluence faible pour un jour de week-end à Paris
- Un salon pour les marques
- Braderie du golf versus salon du golf
- La comparaison avec l’affluence de l’Open de France
- Les fittings vont bon train quand les autres stands sont délaissés
- Un salon qui permet aux professionnels de se parler
- Alors où sont les golfeurs s’ils ne sont pas à Paris ?
Deux ans auparavant, lors de notre dernière venue, un jeudi, jour traditionnellement réservé aux professionnels, nous avions compris que l’affluence n’était pas pour cette journée placé sous le signe des retrouvailles entre confrères.
Cette année, il était temps de prendre la température d’un événement qui avait été plutôt réussi aux dires des professionnels présents l’an passé avec la nouvelle équipe au Parc des Expositions, porte de Versailles.
Une affluence faible pour un jour de week-end à Paris
Le salon du golf ayant changé de propriétaire et de concept, avec la participation active d’un parrain qui prend son rôle très à cœur, Thomas Levet, nous espérions constater un nouvel engouement pour cet événement.
Pour autant, à en juger par la place que nous avons eu pour circuler au milieu des allées du salon, la foule n’a pas été au rendez-vous de ce samedi parisien, marqué par un pic de pollution, et du coup, par la gratuité des transports franciliens.
Bien qu’il a fait gris toute la journée sur Paris, tous ces éléments n’ont pas contribué à faire venir les golfeurs sur les stands des 120 exposants réunis pour l’occasion : marques de matériels, agences de voyages, fédération, parcours, et acteurs divers de la profession.