A la suite de mon dernier article, j’ai reçu des questions sur la dépolarisation. Je vais donc revenir sur cette méthode, et sur sa place dans mon travail de préparation mentale. Je profite de cette introduction pour vous inviter à me partager vos commentaires, et ne pas hésiter à me poser des questions. Je n’ai pas la prétention de maîtriser parfaitement tous les sujets que je mentionne dans mes articles, mais ils font partie de mon quotidien. Je mobilise pas mal d’efforts pour mieux les comprendre, alors si des échanges sur le transfert de certaines méthodes que j’utilise à vos situations personnelles peuvent vous être utiles, c’est avec plaisir.
Revenons à la Dépolarisation…
J’ai déjà évoqué la démarche que j’avais suivie quand j’ai lancé mon projet professionnel : Rencontrer des dizaines d’experts pour les interviewer dans le cadre du podcast « Des Birdies Plein la Tête » que j’avais créé avec ma famille.
Sur le thème de la préparation mentale, j’avais rencontré plusieurs professionnels et parmi eux, Pierre David, le créateur de la Dépolarisation.
Le concept est trop riche pour être entièrement expliqué dans un seul article, mais la grande idée à retenir c’est que pour se libérer de la pression excessive qui paralyse au moment de performer, il faut entrer pleinement dans l’identité du champion.
Avec en arrière-plan, ce principe hyper important : L’important ça n’est pas ce que tu fais, c’est ce que tu deviens.
Concrètement, Pierre David aide les athlètes qu’il accompagne à dépasser le mode polarisé : C’est bien / c’est mal.
- Je gagne = c’est bien
- Je perds = c’est mal
A la place, il introduit l’idée que quoi qu’il arrive, j’ai de bonnes raisons d’accueillir le résultat comme une progression, un apprentissage et une opportunité.
Pour aller plus loin, il aide aussi à travailler sur l’identité du champion.
