Comme annoncé la semaine dernière, je jouais du 8 au 10 mars, la phase finale des qualifications pour le circuit français. Ce qu’on appelle dans le jargon les « cartes françaises ». Ce tournoi qui se joue en deux étapes – qualifications et phase finale – rassemble un champ total de 156 joueurs dont 90 pour la phase finale. Elle se joue sur trrois tours avec un cut de 40 joueurs après le second tour. Les enjeux sont assez importants puisqu’il est possible de gagner des invitations pour trois tournois du Challenge Tour disputés en France, ainsi que pour tous les tournois du circuit français, dont deux appartenant au circuit de l’Alps Tour. En commençant à vous expliquer tout ça, je me dis qu’il faudra que je vous prépare un article complet pour présenter le circuit professionnel dans le détail, mais ça sera pour une prochaine fois. Revenons à mon tournoi…
Côté objectifs, j’avais en tête à minima de passer le cut, et de produire de bonnes cartes. Je visais un TOP20 en me disant qu’un TOP5 était accessible.
Comme vous le savez si vous me suivez, j’abordais ce tournoi avec un déficit de confiance, ayant joué seulement deux tournois depuis décembre, après une saison sportive compliquée en 2022.
Participer à une compétition, c’est se retrouver en nombreuse compagnie après des mois d’entraînement solitaire. Comment l’avez-vous ressenti? Difficulté de concentration ou au contraire motivation, qualité des échanges tant au plan technique qu’au plan amical,etc…
Bonjour !
Socialement, je me suis entraîné a Montpellier massane, donc même si j’étais dans ma « bulle » d’entraînement, j’avais toujours beaucoup de gens autour de moi, le challenge était plus de rester dans ma bulle malgré les distractions pendant l’hiver, donc à la reprise le brassage de gens n’était pas étranger pour moi.
Dans le jeu, je m’y suis pris à l’avance.
Pendant l’hiver on travail beaucoup la technique/ mécanique du swing et on perd un peu le contact avec ce qui est le jeu de golf : Scorer..
Donc 2-3 semaines avant la reprise, j’ai participé à un pro am, et fait énormément de 18 trous avec des partenaires d’entraînement pour me remettre en contact avec le jeu et la compétition..
Justement pour ne pas arrivé « rouillé » ou en manque de jeu, mais même malgré ça, la reprise de saison demande toujours un temps de réadaptation, pour gérer des facteurs qu’on peut pas vraiment reproduire à l’entraînement, comme la pression.
J’espère que ça répond à vos questions !
Bonne journée.
160m avec un PW 🙂 le rêve…
Bonjour. Pour un golfeur “du dimanche”, je pense que le rêve est surtout de jouer droit toutes ses balles plus que la distance à tout prix, du moins c’est mon cas.
Surtout si le drapeau est a 137m et que a 160 il y a un piquet hors limite !!!
Et oui la distance a tout prix meme au plus haut niveau a ses limites.
La precision reste le plus important de loin.
Bien sur si on sait associer les deux, il n’y a pas match..