A l’occasion de notre dernière enquête sur votre expérience golfique en 2021, parmi les nombreuses réponses reçues, vous avez globalement plébiscité les parcours dans l’hexagone. Toutefois, parmi les points de vigilances que vous avez mis en exergue, on retrouve la gestion du temps de jeu, parfois trop lente, mais aussi dans certains cas trop rapide. Dans un contexte où le rôle du starter ou du commissaire de parcours est de plus en plus minoritaire, cela révèle une certaine inégalité entre les parcours sous tension du nombre de parties, et à l’inverse des clubs de membres… Début 2021, une nouvelle société, Qondor, espère apporter une réponse avec Qustom pour proposer de nouvelles façons de consommer un parcours, et donc pas automatiquement 18 trous… Si on comprend l’intérêt pour les golfs, est-ce que cela répond réellement à la préoccupation des golfeurs sur le parcours ?
Au cours de notre enquête, nous avons relevé un paradoxe : Globalement, vous avez très bien noté les golfs sur lesquels vous jouez, et la filière en général. A l’inverse, à l’aide du champ libre, vous nous avez laissé de très nombreux commentaires pour exprimer votre mécontentement sur la gestion du temps de jeu dans les golfs.
Ainsi, on a pu lire « Plus de sanctions pour le jeu lent » ou « Jeu trop lent certains jour » et encore « pas ou peu de personnel au départ alors que le parcours est bondé le matin »
On peut ajouter parmi les réactions « Le jeu lent est un fléau pour la pratique du golf : plusieurs joueurs débutants dans une même partie, joueurs méconnaissant les règles élémentaires, des parties de deux joueurs derrière des parties de quatre, rythme lent (dans le jeu, pour rejoindre sa balle ou le prochain trou, etc…) » conforté par l’avis d’un autre sondé « Manque un Marshall l´été, période où tous les départs sont complets, afin de lutter contre le jeu lent.