Depuis que j’utilise une application pour « tracker » suivre mes coups de golf sur le parcours, je peux analyser plus finement mon jeu, et notamment par compartiments, entre driving et putting. A ma grande surprise, le putting a rapidement été le secteur le plus performant en comparaison de mon index, jusqu’au point où je me suis gargarisé d’être un relativement bon « putter », ce qui a fini par me donner un soupçon de confiance en plus sur les greens. Depuis quelques semaines, je constate être nettement moins bon, et du coup préoccupé par une éventuelle régression. Plusieurs facteurs peuvent en être la cause. Cependant, j’ai voulu en avoir le cœur net, et creusé la question capitale de la longueur du premier putt sur le green…
De bien putter à mal putter, qu’est-ce qui a pu se passer ?
Depuis 2017, je joue en moyenne une quinzaine de parties sur 18 trous avec un plafond à vingt en 2019 et 2020.
Conscient que ce n’est pas suffisant pour progresser, depuis l’été dernier, j’ai décidé d’accélérer le rythme, et notamment en jouant beaucoup plus l’hiver où jusqu’à présent j’avais tendance à m’éloigner du terrain.
Entre période de confinement et de déconfinement, j’ai clairement cherché à optimiser mes possibilités d’aller sur le parcours, tant et si bien que depuis le 1er janvier, j’ai déjà joué dix parties en trois mois.