Pour une grande majorité de golfeurs, et de golfeuses, le divot laissé par un coup de golf, le plus souvent un fer ou un wedge joué depuis le fairway, c’est du chinois. De plus, ils ou elles ont peu l’occasion de s’entraîner sur une surface appropriée (surtout pas un tapis), de sorte qu’ils ou elles ne tirent pas ou peu d’enseignements de ce qu’ils ont à leurs pieds. On a coutume de dire que le meilleur entraîneur au golf est la trajectoire de balle. Elle indique finalement la qualité du coup, le chemin suivi par le club, la position de la face à l’impact, l’angle d’attaque, et le centrage de la balle dans la face. Les divots ont eux-aussi une vertu considérable pour qui sait les lire. Comme sur une scène d’investigation, ils laissent des traces indélébiles et évidentes. Quelle solution pour aider les amateurs ?
L’aide à l’entraînement la plus indispensable : La planche à divot
Sur Internet, objectivement, il y a beaucoup d’aides à l’entraînement qui ont une portée très relative, pour ne pas dire inutile, surtout pour être utilisé en autonomie, sans l’assistance d’un coach avisé.
Pourtant, une aide assez banale se distingue des autres : La planche à divot.
Dans un contexte où dans les golfs, il devient de plus en plus difficile d’échapper au tapis de practice et trouver une surface engazonnée, s’équiper d’une planche à divot n’est pas si anecdotique dans le parcours d’un golfeur amateur qui cherche à progresser, et surtout à comprendre son swing.
Ce type de planche est en fait assez basique. Il s’agit de coucher un grain de moquette de manière suffisante pour créer ou plutôt laisser une trace du contact du club avec le sol, et plutôt un fer qu’un bois joué selon un angle remontant.
Effectivement, les clubs joués selon un angle d’attaque positif ou remontant vers le ciel ne laissent pas de divots, alors qu’à l’inverse, les amateurs doivent comprendre qu’un fer est impérativement joué vers le sol, selon un angle d’attaque négatif, et susceptible de laisser une trace, un divot.