Auteur du septième plus long drive de la saison 2016 du PGA Tour (367 mètres), l’australien Jason Day vient de reprendre la place de numéro 1 mondial à l’occasion du WGC-Dell Match-play, le championnat du monde de la discipline sur le parcours d’Austin, et aux dépens de Jordan Spieth. Deuxième pour le nombre de coups gagnés au putting, ce qui est exceptionnel, c’est pourtant la puissance au drive qui fait de Jason Day, l’un des golfeurs les plus longs du circuit (dans les dix premiers du tour).
POURQUOI L’ANALYSE DE LA SÉQUENCE DE SWING DE JASON DAY
Auteur d’une très belle fin d’année 2015 sur le circuit professionnel, Jason Day a longtemps challengé Jordan Spieth pour la place de numéro un mondial. Vainqueur de cinq tournois dont son premier majeur, l’US PGA Championhip, l’australien a définitivement imprimé dans l’esprit de tout le monde qu’il était bien à 28 ans un des top player du moment, et un possible successeur de Tiger Woods.
Depuis le début de saison, légèrement blessé, Day est resté discret jusqu’au « gros » tournois d’avant Masters, le Arnold Palmer Invitational, et le championnat du monde de match-play où il a plus que tenu son rang.
Déjà titré dans cette formule en 2014 contre Victor Dubuisson, Jason Day a encore pu s’appuyer sur son driver avec lequel il réalise de petits miracles depuis le tee.